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De VALDO VACCARO 20 avril 2020
Article de Gianni Lannes : “Coronavirus: la banalità del male“Coronavirus : la banalité du mal” – (résumé, titre et sous-titres par Valdo Vaccaro)
86 MILLIONS DE NEURONES DÉSACTIVÉS À VIE
Auto-confinement et détention illimitée pour tous. Ce n’est pas une quarantaine mais une interdiction absolue de vivre. Cauchemar de la phobie du virus : une régression anthropologique est-elle en cours ? Nous avons 86 milliards de neurones et nous ne les utilisons pas, mais nous les désactivons de façon permanente. L’humanité s’achemine vers une solitude absolue, représentée par un écran d’ordinateur, un Tablet ou un smartphone (5G).
Une société qui ne pense plus de manière critique et ne voit pas la suite, n’a pas d’avenir. Les tentatives insensées d’anéantir l’humanité par une oligarchie inhumaine aveuglée par la soif de domination remontent à l’aube de la présence humaine sur Terre. Mais ce n’est qu’au XXe siècle que l’homme a appris à exploiter la technologie qui permet de tuer et d’asservir à grande échelle et de vaste rayon.
LE VÉRITABLE ENNEMI SE CACHE À L’INTÉRIEUR DE CHACUN DE NOUS.
Cependant, l’ennemi le plus insidieux est à l’intérieur de chacun de nous, ceux qui sont à l’extérieur n’en sont que le reflet autoritaire. La peur nous rend plus vulnérables. Et ceux qui sont au pouvoir le savent et exploitent ce mécanisme primordial. Donc, pour en sortir, pour ne pas être domestiqué ou assujetti, il faut une lecture critique de la réalité, avant de passer de la pensée à l’action de libération : pour découvrir, pour vérifier, pour mettre en lumière ce qui n’apparaît pas, ce qui est délibérément hors-scène. Nous devons sortir des clichés de la résignation au pire.
LA TRANSFORMATION DES HOMMES EN AUTOMATES TÉLÉCOMMANDÉS
Le nouveau coronavirus (Sars Cov-2) confondu par les dirigeants italopithéques avec la maladie (Covid-19) – même dans les actes officiels de l’État, avec lesquels la population italienne a été privée de liberté – n’est pas une malédiction divine. Au siècle dernier, George Orwell avait vu au-delà de l’horizon de son époque nébuleuse. Le grand frère est désormais une réalité imminente, voire dépassée, alors que la grande masse des gens ordinaires ignore le danger eugénique omniprésent.
L’objectif est de désarmer : transformer les humains en automates télécommandés. Le mot magique est adaptation (forcée, coercitive), bien sûr, flattée, adoucie, déguisée. Aujourd’hui, la haine est de ne pas supporter la liberté de l’autre : l’Italie du XXIe siècle est un exemple monstrueux sous les yeux de tous les aveugles.
L’IMPORTANT EST D’APPARTENIR À UN TROUPEAU DE MOUTONS.
Personne ne remet en question les mécanismes de transmission du nouveau virus. Les élucubrations sont laissées aux soi-disant “experts”, comme dans le passé il était laissé aux prêtres d’interpréter les écritures sacrées. La masse tricolore est heureuse de confier son destin à d’autres, techniciens ou autorités, en partant du principe qu’il est plus important d’appartenir à un troupeau de moutons que de rester en dehors du chœur. Pourtant, la médecine n’est pas une science, mais une discipline.
PAS DE QUESTIONS POUR LES TECHNICIENS EN BLOUSE BLANCHE
Exactement, les techniciens en blouse blanche (qui se vantent d’intérêts économiques cachés) ne sont pas interrogés sur les mécanismes de transmission de la “maladie”. La menace du virus, d’un problème concret à affronter avec les outils de l’intelligence critique, s’est transformée en l’expression de la culpabilité morale des citoyens, y compris des enfants, enfermés depuis le 5 mars, sans possibilité de rencontrer leurs pairs pour jouer en plein air, sous la lumière bienfaisante du soleil.
LES RESPONSABLES VEULENT UNE GÉNÉRATION D’ANALPHABÈTES COMPLETS
Les enfants ont été limités par une école inqualifiable, les outils habituels de la technologie de contact à distance qui génèrent la dépendance et l’addiction, mortifiant l’imagination, l’intelligence et la créativité. La subordination sans critique au ministère de la vérité absolue serait-elle le nouveau progrès de la modernité ? Ou s’agit-il d’une régression institutionnelle fulgurante ? Les responsables veulent et exigent une génération d’analphabètes total, non seulement fonctionnels, sans esprit critique ou rebelle.
LA GÉNUFLEXION SUPERSTITIEUSE DEVANT LES PRÊTRES
Cette expérience d’ingénierie sociale a d’ailleurs permis à certains d’exposer et d’affirmer leur supériorité intellectuelle présumée mais peu convaincante – à l’épreuve des faits. C’est une attitude paternaliste et moralisatrice, en tout et pour tout, semblable à la génuflexion superstitieuse propagée par de nombreuses religions, notamment monothéistes (christianisme, islam et judaïsme) d’origine patriarcale et pastorale.
TOUTE DISSIDENCE DEVIENT UNE INDIGNITÉ MORALE
La dissidence critique a été immédiatement criminalisée et associée à une indignité morale. Ceux qui soutenaient l’importance de l’activité physique ont immédiatement été tournés en dérision et réduits à des traits moralement inférieurs, tandis que l’abus de nourriture, d’alcool et de tabac qui accompagne la ségrégation domestique coercitive des adultes depuis le 10 mars a été encouragé. C’est une position apparemment cohérente avec le cadre idéologique, où le virus doit être vaincu par le sacrifice et la soumission à l’autorité et non par l’intelligence critique.
TOUTE ACTIVITÉ PHYSIQUE NORMALE EST DIABOLISÉE
C’est un péché mortel de courir librement, d’aller à la mer, de faire de la randonnée en montagne ou de sortir à la campagne, non pas parce que c’est une activité objectivement et scientifiquement liée à la propagation du virus, mais parce que nous sommes indignes, incapables d’être dignes de confiance. En d’autres termes, nous sommes pêcheurs et nous devons nous débarrasser de nos péchés, en souffrant tous ensemble.
LE GOUVERNEMENT LE PLUS PERTURBÉ DEPUIS L’ÉPOQUE DE L’EMPIRE ROMAIN D’OCCIDENT…
Dans cette atmosphère absurde, grotesque et irrationnelle, rendue possible par le manque traditionnel de culture scientifique des Ital-idiot (l’analphabétisme fonctionnel auquel le linguiste Tullio De Mauro se référait à une époque insoupçonnée), l’application du diktat du gouvernement le plus brisé de l’histoire de l’Italie depuis l’époque de l’Empire romain d’Occident, devient un article de foi, souvent imposé plus par les fidèles que par les autorités elles-mêmes.
DES DRONES, DES HÉLICOPTÈRES ET DES BATEAUX DE PATROUILLE
Les parcs et les zones de baignade sont fermés, des drones sont utilisés pour localiser les marcheurs solitaires dangereux, des hélicoptères et des patrouilleurs sont envoyés pour secourir les nageurs et les plongeurs. Le fait que, selon l’Organisation mondiale de la santé (aujourd’hui à la solde de la Fondation Gates), le virus ne survit pas à l’air libre sous l’effet bénéfique des rayons du soleil et qu’il suffirait même de l’air libre pour disperser la charge virale, quel que soit le seuil de danger pour l’homme.
LES CITOYENS SONT TERRIFIÉS PAR UNE PUBLICITÉ PERCUTANTE
À l’époque du Moyen Âge technologique, contre toute raison scientifique évidente, l’environnement naturel est associé à la liberté de pensée et de mouvement, dans laquelle on ne peut qu’inciter à croire les citoyens désormais terrifiés par la propagande percutante des mass médias (principaux producteurs de canulars et de fausses nouvelles).
À LA MAISON NON PAS POUR ÉVITER LE VIRUS MAIS POUR SAUVER LE GOUVERNEMENT
Aujourd’hui, comme dans le roman d’Orwell (1984), les individus sont isolés les uns des autres et soumis à une imposition continue d’illusions, par le biais d’écrans installés chez eux, payés par les mêmes sujets. En réalité, on est obligé, on doit être enfermé dans une prison domestique, non pas pour éviter le virus, mais pour ne pas remettre en cause l’autorité du gouvernement tricolore auquel la société a délégué sa liberté. C’est le côté sombre de l’irrationalité : la peur et l’ignorance. C’est un mécanisme raconté depuis l’époque de Galilée et de Giordano Bruno.
PAR CRAINTE DU VIRUS, ON RENONCE À SES DROITS
L’ignorance rampante contamine la peur qui cherche dans le sacrifice de la liberté et la soumission à l’autorité, un sauvetage qui est appliqué avec la stupidité irrationnelle de la superstition. La crainte du virus a incité de nombreuses personnes à renoncer à leurs droits individuels. Le sauvetage du corps en échange de l’âme que beaucoup n’ont pas.
L’ÊTRE HUMAIN EST NÉ POUR TISSER DES RELATIONS
Une société qui ne pose pas de questions, qui obéit même à la chose la plus absurde. Une humanité qui n’a ni corps ni âme n’a aucune valeur dans son existence. L’humanité est née et existe pour évoluer, car aucun être humain ne vit isolé de tout et de tous. L’être humain est né pour aimer et être aimé, pour tisser des liens, partager des idées et vivre en harmonie avec la Nature, non pas emprisonné entre quatre murs.
LA DÉGRADATION DE LA LÉGALITÉ ET DES PRINCIPES FONDAMENTAUX DE L’ÉTAT DE DROIT
Accepter le diktat de devoir rester chez soi (sous peine de sanctions) sans raison, c’est non seulement un risque sanitaire (les dégâts que beaucoup auront de cette enceinte domestique inutile) mais surtout l’échec du pacte de raison entre l’Etat et le citoyen, également avalisé par le locataire du Quirinal (le garant on ne sait plus de quoi). En effet, l’État, dans une situation de dégradation de la légalité et du principe fondamental de l’État de droit, n’est pas invité à expliquer les motivations rationnelles des règles. Le pacte n’est plus fondé sur la raison et le respect mutuel entre la personne et l’institution, mais sur l’intérêt spéculatif de ceux qui détiennent le pouvoir pour le compte de tiers et la crainte qui accompagne les individus, maintenant seulement des chiffres. La superstition est le lien naturel : le banale slogan “iostoacasa” (jeresteàlamaison) exprime l’échec ultime de la liberté et de la démocratie.
Gianni Lannes
AVERTISSEMENT : Valdo Vaccaro n’est pas un médecin, mais un chercheur libre et un philosophe de la santé. Valdo Vaccaro ne visite pas et ne fait aucune prescription. Les informations contenues dans ce site ne sont pas destinées à remplacer l’avis du médecin traitant et n’ont pas l’intention de le faire.
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